
Les premiers cas connus de transmission de la rage aux humains par le loup datent du XIII ème siècle. A travers l’histoire, courent des récits de loups solitaires se ruant dans les villages et les basses-cours, mordant férocement les gens et le bétail sur leur passage avant de perpétrer leur forfait dans un autre village. Les loups atteints de la maladie perdent en effet leur peur des humains.
Il faut relever un aspect important : les victimes mordues ne sont jamais mangées par l’animal enragé (les muscles du pharynx sont en effet paralysés, d’où une salivation abondante). Les attaques se déroulent sur un jour, deux tout au plus.
source Férus